Le fantôme de la nonne expulsée qui hante le musée des Beaux-Arts de Lyon

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Auteur chez Alex Lyon
Je m'appelle Alexandre et je suis un amoureux de Lyon et de voyage. Je suis né et j'ai grandi à Lyon, une ville qui a toujours été proche de mon cœur. C'est une ville riche en histoire et en culture, avec une atmosphère chaleureuse et accueillante. J'aime parcourir ses rues pavées, découvrir ses nombreux musées et savourer sa cuisine traditionnelle.

Ma passion pour les voyages a commencé très jeune. J'ai commencé à explorer le monde dès mon plus jeune âge, et je n'ai jamais arrêté depuis. J'aime découvrir de nouveaux horizons, rencontrer de nouvelles personnes et découvrir de nouvelles cultures. Chaque voyage est une aventure unique et je suis toujours enthousiasmé par les nouveaux défis qui se présentent à moi.
Je suis également un passionné de photographie et j'aime capturer les moments les plus marquants de mes voyages. J'aime voir comment les gens vivent dans différents pays, découvrir leurs coutumes et leurs traditions. Je pense que la photographie est un moyen de documenter mes voyages et de les partager avec les autres.

En conclusion, je suis heureux de pouvoir vivre dans une ville que j'aime tant tout en explorant le monde. Je suis toujours en quête de nouvelles aventures et je suis prêt à les partager avec les gens que je rencontre. J'espère que mes voyages me permettront de découvrir de nouveaux horizons et de vivre de nouvelles expériences incroyables.
Alex
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Un spectre issu du passé

Le musée des Beaux-Arts de Lyon est l’un des sites les plus célèbres de la ville. Pourtant, ce lieu chargé d’histoire cache une légende bien particulière. En effet, le musée serait hanté par un fantôme, celui d’une nonne expulsée du couvent de l’abbaye Saint-Pierre au 16ème siècle.

Des comportements légers condamnés par le roi

Les nonnes rebelle et frivoles, dont Alix de Tézieux, étaient connues pour leurs comportements légers et leur légèreté. Connues pour leurs frasques et leurs mœurs modernes, des plaintes ont été déposées contre elles auprès du roi Louis XII et de l’archevêque de Lyon François de Rohan. Suite à cela, elles furent exclues du couvent et condamnées à une vie de misère.

Une mort en pauvreté

Alix de Tézieux, la plus dissipée de toutes, est morte en 1524 dans la plus grande pauvreté, et ce dans un autre couvent. L’excommunication qui en découla a entraîné une réforme stricte des règles religieuses et une vie pieuse imposée aux bénédictines.

Le fantôme qui demande pardon

Deux ans après sa mort, Alix de Tézieux reviendrait sous forme de spectre pour demander pardon. On affirme que son fantôme arpente les lieux jusqu’à ce jour et a été aperçu par plusieurs visiteurs du palais Saint-Pierre et du musée des Beaux-Arts. Une visite insolite à ne pas manquer pour découvrir une histoire riche et mouvementée.

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